Pauly Shore nous invite dans sa maison d'hôtes pour quelques grands rires [Exclusive]

Pauly Shore nous invite dans sa maison d’hôtes pour quelques grands rires [Exclusive]

Pauly Shore a eu un bon parcours dans les décennies 90, apparaissant dans un certain nombre de films comiques qui demeurent devenus des classiques cultes. Mais à l’approche de la décennie suivante, il a discrètement disparu des multiplexes alors qu’il continuait à faire du stand-up comédie et restait la majorité du temps à l’écart des projecteurs. Il sortira quelques films produits indépendamment au fil des ans. Mais désormais, il revient au genre de rôle qui l’a rendu super célèbre avec une place principal dans la comédie Maison des convives, qui est diffusé en VOD ce vendredi 4 sept..

Maison des convives arrive dans la grande tradition de Homme Encino et Beau fils. Pauly Shore calcule Randy Cockfield, et il est électrifié dans le rôle, éclairant l’écran avec son personnage plus grand que nature pour l’une manière que nous n’avons pas vue à partir de des décennies. C’est bien que Pauly revienne faire ce qu’il fait de mieux, et le film ne peut pas arriver à un meilleur moment.

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Dans Maison des convives, le binome de fiancés Sarah (Aimee Teegarden) et Blake (Mike Castle) achètent la maison de leurs souhaits. Mais voici un gros hic. Un fêtard nommé Randy (Shore) vit dans la maison pour l’convives et refuse de partir! Quand Randy organise une fête à la piscine sauvage et sexy, les flics se présentent et Blake est arrêté. Désormais, Sarah et lui peuvent-ils traverser leur mariage dans la cour sans qu’un certain perdant ne fasse tomber la fête … et ruine leur mariage?

Nous avons rencontré Pauly Shore pour discuter de son retour soudain et inattendu au type de comédies qu’il a fait pour l’énormes succès au box-office dans les décennies 90. Le mec a beaucoup de choses à faire, mais pour l’instant, le septième art paraît être l’endroit où il veut le plus vivre. Maison des convives s’apparente à un deuxième souffle pour Pauly Shore, et il a parlé de ce à quoi nous pouvons nous attendre dans un près futur.

Pauly Shore: Si vous obtenez Maison des convives, vous pouvez aussi obtenir Pauly Shore is Dead. Non, je plaisante.

C’est présent la double caractéristique. Dextre?

Pauly Shore: La double fonctionnalité, non! Ouais.

Je ne pense pas que vous soyez suffisamment reconnu pour votre rôle dans Fantôme du centre commercial. Ils ont en quelque sorte arnaqué votre personnage un peu dans la 3ème saison de Choses étranges. Je pense que ce est la meilleure double fonctionnalité pour Maison des convives. Par où vous avez commencé et où vous en êtes désormais, êtes-vous pour l’accord?

Pauly Shore: J’préfère démarrer les choses et laisser les autres gagner plus pour l’argent avec elles.

Était Fantôme du centre commercial quelque chose que vous avez commencé et que les personnes vous ont pris pour gagner de l’argent? Je ne connais même pas la trame de fond de ce film.

Pauly Shore: Non, c’est un film que j’ai fait en 1988. Ouais, et je plaisantais. C’était une mauvaise blague. Désolé.

Je n’entends personne en parler quand ils en parlent Choses étranges. Et comme votre personnage et celui de Steve dans la saison 3? C’est le même mec.

Pauly Shore: Je n’ai jamais vu Choses étranges.

Oh, mec. Ouais. Ils l’ont fait bosser au magasin de crème glacée, comme vous le faisiez. Pourquoi plus de personnes ne connaissent-ils pas ce film? Personne ne l’a particulièrement vu à partir de si longtemps.

Pauly Shore: Tu sais, je suppose que je dois mourir ou quelque chose comme ça?

Avant de le creuser hors de la crypte. Je vais dire … Bobby est soit le plus grand acteur de notre génération, soit il déteste particulièrement être assis dans ce swing sexuel de Tommy Lee. Car je n’ai jamais vu une émotion aussi authentique se dégager pour l’une personne devant la caméra auparavant.

Pauly Shore: Bobby Lee. Ouais, il me fait rire. Il est énormément drôle.

Cette scène est hilarante.

Pauly Shore: Ouais, ouais, ouais, ça l’est. C’est comme ça que Bobby et moi sommes dans la vraie vie. Type, je suis obsédé par Bobby, tu sais. Donc je n’ai pas Bobby. J’ai mon assistant, Mike, maintenant, donc il est un peu comme, vous savez, ma patte de petit lapin. Tu sais ce que je veux dire? Je pense que c’est mon porte-bonheur, alors oui. Bobby et moi sommes très proches à partir de de nombreuses décennies, et il était assez gentil pour faire cette partie du film. Il avait l’aspect pour l’être en enfer avec moi, ce qui fait partie, je pense, du prestance de notre relation. Car c’est à peu près réel à chaque fois. C’est drôle à chaque fois que je vais au spa coréen, et je le vois là-bas. Il part. Il ne passera même pas avec moi. Pourquoi? Je ne sais pas. Il ne fait en toute simplicité pas, parce qu’il peut que je voulais, comme, tu sais, passer du temps avec lui. Je ne sais pas. Demandez-lui la prochaine fois que vous parlerez. Je suis sûr que vous allez l’interviewer. Dites simplement: «  Pourquoi dis-tu autant de Pauly Shore alors qu’il veut être ton ami et être juste à arôme de toi?  » Ce est drôle.

Votre opus de Joe Rogan est l’un des plus populaires, où vous avez continué et vous avez parlé de votre passé avec ces films que vous avez conçus dans les décennies 90. Et et ensuite tout pour l’un coup, nous avons désormais un nouveau film de Pauly Shore. Fait Maison des convives découlent de cette conversation, de recommencer à faire ce type de films?

Pauly Shore: Je pense que c’est un peu le cas. Je pense que les personnes … C’est bizarre, comme les personnes sont comme … C’est juste … Je parle juste de moi. Je ne parle pas des autres. C’est comme si les personnes me voyaient durant tant pour l’années dans les films, et ensuite ne me voyaient pas durant tant pour l’années dans les films. Et ils ne savent pas pourquoi ils ne m’ont plus vu dans les films. Tu sais? Car je n’ai rien fait, rien n’a mal tourné. Je n’ai pas eu de surdose de drogue bizarre ni perdu tout mon argent ou quelque chose de fou bizarre. Ils ont juste arrêté de me donner les films. Et le business est très … C’est … Je ne veux pas dire que c’est tout ce que vous connaissez. Mais en grande partie, c’est comme: ‘Oh, cette personne que nous voulions avoir …’ Vous voyez ce que je veux dire? Et pour ce film en particulier, mon ami Jared, qui officie chez LionsGate, était avec Barry, qui dirige Grindstone. Et ils parlaient juste de moi. Et Jared m’a affirmé: «  Ouais, mon ami de Paul est  ». Car Jared vendait mes films à Disney et qu’ils voulaient que je sois le policier dans ce film. Et et ensuite, quand le réalisateur Sam a vu mon opus de Joe Rogan, il s’est affirmé: «  Vissez le policier. Paul est une vedette de septième art, comme il doit jouer dans ce film. Et et ensuite c’est présent qu’il m’a nommé et il m’a proposé le rôle principal dans le film. Et une fois que j’ai lu le script et compris de quoi il s’agissait … je me suis affirmé: ‘Vous savez quoi? Je peux faire en sorte que cela fonctionne. J’ai adouci le personnage, le rendant plus sympathique, réel, et lui ai offert un mignon message à la fin pour lui apporter du cœur. Je pense que je peux réussir. Donc, ils m’ont particulièrement offert mon espace pour mettre en quelque sorte cette impression dans le script et mettre la impression dans le personnage car … Vous avez vu le film, non?

Ouais, je l’ai vu hier soir.

Pauly Shore: Alors oui, c’était mon objectif, c’était de faire ça. Et aussi, comme, vous savez, car je disais forcément comme: «Eh bien, quelle est la raison pour laquelle ce genre est assis dans l’arrière-maison». Vous savez, pourquoi il est de retour? Il n’y a pas qu’un fou qui habite là-bas. Je ne veux pas dire à votre public la fin. Mais vous l’avez vu. Et tu comprends désormais pourquoi?

À qui avez-vous volé le rôle? Si c’était déjà en production ou en cours de production … Y avait-il quelqu’un qui était censé être dans cette maison pour l’convives arrière que vous avez en quelque sorte mis à l’écart?

Pauly Shore: Adam Sandler.

Sérieusement.

Pauly Shore: Pour finir, je suis revenu sur lui après toutes ces décennies passées à prendre mes films.

Il prend forcément vos films.

Pauly Shore: Non, je plaisante. Non, je ne sais pas à qui il allait l’procurer. Je ne sais pas. Il allait … Tu dois demander à Sam. Si jamais vous l’interrogez. Je ne sais pas.

J’ai un pitch pour la seconde partie. Je pense qu’ils devraient louer cette maison à David Faustino. Et et ensuite tu reviens pour voler la maison de Faustino? Non? Et et ensuite vous avez une guerre à trois entre le nouveau mec qui est là-dedans. dans la maison pour l’convives. Ensuite, vous et le binome qui vivez dans la maison.

Pauly Shore: J’préfère ça.

Et et ensuite je suppose que vous pourriez jeter par-dessus ce qui se déroule dans le univers réel en ce moment.

Pauly Shore: J’préfère ça.

Cela peut faire baisser un peu la comédie. Flocka possum donnerait littéralement des cauchemars à quelqu’un.

Pauly Shore: C’est comme le diable de Tasmanie.

Beaucoup de scènes de ce film sont tournées un peu comme un film pour l’horreur.

Pauly Shore: Ouais c’est ça. Un peu de thriller, un peu pour l’horreur. Ouais. J’ai trouvé que Sam avait fait le meilleur travail avec l’histoire et le rythme. C’est sombre. Il fait assez sombre. Tu sais?

Le vrai nom du réalisateur est-il Sam Macaroni?

Pauly Shore: Ouais. Macaroni et fromage.

Est-ce un argument de vente pour vous quand vous entendez que l’appelation du mec est Macaroni et que vous êtes comme … Ouais, c’est mon directeur!

Pauly Shore: Absolument. Car j’aurais aimé que son nom soit Sam Asparagus, quand bien même cela aurait été mieux.

C’est une sorte de mec puant, n’est-ce pas?

Pauly Shore: Je n’y ai pas pensé. Vous avez raison?

Je vous ai parlé quand vous avez présenté des adoptés. Vous avez affirmé quelque chose que j’ai forcément trouvé particulièrement intéressant. Et c’était … Ce film a une telle douceur et un tel cœur, et il va au-delà. Mais on ne va jamais jusqu’au bout du territoire comme Bobby ou Peter Farley, où ça devient énormément dégoûtant. Vous ne pouvez pas repérer l’écran. Et il me paraît que vous avez particulièrement apporté cette esthétique maintenant, où c’est énervé et super drôle. Mais vous gardez forcément ce cœur et cette électricité dont vous êtes tout. Et un peu comme, vous savez … Il y a une guerre en cours, mais à la fin, vous y arrivez. Et je pense que beaucoup de personnes veulent ce genre de positivité en ce moment. Ce n’est pas une sorte de comédie sombre.

Pauly Shore: Ouais, c’est mon objectif. Mon objectif est, en tant que personne qui regarde l’histoire, de m’prendre en charge que j’ai repoussé les restrictions. Je ne vais pas trop loin. Je garde le cœur, je raconte l’oeuvre et je la fais avancer. Mais je pense que tu as raison. C’est particulièrement important en ce qui me concerne. Ne dépassez pas le bord. Ce n’est pas mon style. Je n’ai jamais aimé ça. Je ne fais pas partie de ces mec. J’apprécie ce style de comédie, mais ce n’est pas qui je suis.

Non. Et, certaines des blagues vont en quelque sorte au bord. Mais il paraît forcément que cela reste dans ce que les fans connaissent Pauly. Et je dirais que c’est particulièrement un film de Pauly. Je ne sais pas de quelle manière dire si vous êtes la vedette, car les deux pistes vous mettent en quelque sorte où … Vous êtes en quelque sorte la 3ème étoile. N’êtes-vous pas pour l’accord avec ça? Mais la chose à faire de cette façon, c’est que quand vous êtes un peu éloigné de l’écran, nous avons tous faim de plus. Quand Pauly se présente, à chaque fois.

Pauly Shore: Bon Dieu, nous avons frappé ça. C’est ce que nous voulions.

Je pensais que c’était un peu comme la génération X par rapport aux milléniaux. C’est une sorte de graphisme.

Pauly Shore: Absolument. C’etait intéressant. Quelqu’un a affirmé que, comme dans mes films plus anciens, c’était forcément moi qui étais le plus jeune et que je me heurtais ensuite à ce type de personnes pour l’entreprise et à l’écart. Et désormais, je suis le mec plus âgé, je me tourne vers les personnes de l’entreprise, les plus jeunes. Cela a-t-il du sens?

Ouais, j’ai tout à fait du sens, surtout quand tu vois le film. Désormais, est-ce que tu vas poursuivre à faire ces films, ou est-ce juste un peu unique avant pour l’aller en faire plus … Je sais que tu fais ton podcast, que j’avais l’habitude de repérer il y a un an . Je ne sais pas si tu as changé … Car je te regardais marcher dans la maison, te parler. Est-ce le même podcast que vous faites actuellement?

Pauly Shore: C’est le même podcast, mais il est développé. Et désormais, nous sommes sur tout ce qui concerne la comédie, qui est le réseau de Bill Burr. C’est particulièrement développé. Tu devrais y jeter un coup pour l’oeil. C’est pleinement unique et pleinement différent. Et il n’y a rien de tel que ce podcast qui existe. J’ai déménagé à Las Vegas il y a environ deux mois, donc je vis maintenant désormais et je le lance maintenant, et je suis particulièrement excité à ce sujet. J’ai aussi un show de karaoké nommé Pauly-Oke, dans lequel je fais ces chansons avec lesquelles j’ai grandi. Et je me prépare à faire une série sérieuse appelée transpiration avec le Weez, qui est comme ma version du Richard Simmons transpirant avec le plus âgé. Donc, tous les lundis, nous publierons une autre vidéo pour l’entraînement. J’tente donc juste de compléter toutes mes journées avec du contenu amusant.

Que se passe-t-il avec le one man show à Las Vegas? Est-ce en pause? Allez-vous pouvoir faire ça de sitôt?

Pauly Shore: Eh bien, excusez-moi, tout est en pause. C’est quelque chose sur lequel je travaillais à partir de longtemps. Je l’ai tourné durant un moment, et ensuite la Corona est arrivée. Alors j’ai mis une épingle dedans. Mais ce qui est bien, c’est que j’y ai mis une épingle à une place et à un moment où j’étais très à votre aise sur scène. Alors je dois juste le revoir. Mais ma vision pour cela est, vous savez, ce sont des récits de mon enfance, et c’est analogue à l’émission Mike Tyson One man, qui s’appelait Undisputed Truth. Ce Spike Lee a réalisé. Donc je veux faire ma version de, comme, grandir. Vous savez, au magasin et à l’époque de MTV, et des trucs comme ça, vous savez?

Eh bien, parlez-vous à quelqu’un de le véhiculer? En fait, si vous ne pouvez pas faire monter le show bientôt sur scène, sans doute installer votre sain scène et le faire comme sans doute …

Pauly Shore: Je préfère le faire en direct devant un public. Donc, je veux dire, la bonne chose est que le script est verrouillé, donc je n’ai pas particulièrement besoin de le développer autant. Je veux dire, une fois que j’aurai un directeur à bord, nous allons potentiellement le améliorer, mais c’est potentiellement 80 à 85% là-bas, vous savez?

Voulez-vous que Spike Lee entre et le fasse? Ou avez-vous un autre réalisateur? Je suis sérieux quand je demande ça? Avez-vous un autre réalisateur qui, selon vous, conviendrait à cela, si vous le filmez réellement pour la consommation?

Pauly Shore: Je ne sais pas encore qui va le réaliser. Mais mon manager et moi parlons de personnes différentes. Nous trouverons quelqu’un qui veut le véhiculer, c’est ce qu’il faut pour le travail.

Spike Lee vient de procéder au show de David Byrne pour HBO. Il peut être intéressé à procéder au vôtre. Qui sait? Je veux dire, sans doute qu’Apatow peut le faire? Qui sait? Mais il paraît qu’en ce moment, je dirais que vous avez une telle résurgence de jeunes fans découvrant vos films. Quelle est la 1ère personne vers laquelle vous les indiquez? Et dites, c’est présent que vous commencez. Et et ensuite c’est présent que nous allons ramasser, maintenant, avec Maison des convives.

Pauly Shore: Je partirais du film que vous avez mentionné, qui était Fantôme du centre commercial. Revenons à 1988.

Vous êtes un grand acteur dans ce film. Et vous ne faites pas particulièrement le personnage pour lequel les personnes vous ont rencontré sur MTV quelques décennies dans les semaines à venir. Vous voyez une autre facette de Pauly Shore, et vous voyez où vous étiez réellement acteur, avant le personnage comique.

Pauly Shore: Oui. J’ai agi avant de me lever. Et et ensuite une fois que je me suis levé, je suis monté sur MTV. MTV a alors explosé. Et et ensuite à partir de là, vous savez, c’était parti pour les courses. Mais je suis pour l’accord avec toi. Je veux dire, ce personnage dans lequel je calcule Maison des convives aussi, je pense que j’agis dedans. Tu sais, je ne calcule pas au Weez, non?

C’est la même énergie, mais c’est un mec pleinement différent. C’est ce que je dis, c’est que vous pouvez voir où vous avez commencé et que vous avez en fait commencé en tant qu’acteur avant de démarrer à faire une sorte de stand up, et à en faire des films. Ce personnage. Je ne sais pas de quelle manière vous appelez ça. Je ne veux pas être impoli. Les personnes savent que c’est Pauly Shore, la fouine, et ils vont le voir. Vous étiez un acteur solide comme Robin Williams est un acteur, mais c’est aussi un comédien. Vous étiez cette personne avant de démarrer à mettre la comédie debout dans les films.

Pauly Shore: Ouais, c’est pourquoi j’préfère mieux jouer que me tenir debout en ce moment. J’adorerais faire des films. Je veux dire, c’est présent que j’appartiens. C’est présent que se trouve ma maison. Je crois que ma maison est sur le plateau de réalisation. Tu sais, c’est présent que je devrais être. J’ai déjà tourné en Amérique ces 15-20 dernières décennies. Allumé et éteint. J’aimerais sans doute obtenir une résidence maintenant. Oui. Est-ce que mon one man show. Sans doute réaliser mon sain club maintenant. Je veux tenter de le décoller un peu, et passer un petit peu plus de temps à tenter sans doute de retourner dans plusieurs films.

Ouais, fais plus. Car les personnes le veulent.

Maison des convives est à votre disposition sur LionsGate ce week-end en streaming sur VOD.

Sujets: Guest House

B. Alan Orange chez Movieweb

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