Les Choristes : un demi-miracle se produit [critique]

Les Choristes : un demi-miracle se produit [critique]

Gérard Jugnot à l’honneur ce dimanche sur France 2

Les Choristes, le film musical de Christophe Barratier avec Gérard Jugnot

Le film musical de Christophe Barratier Les Choristes avec Gérard Jugnot à l’affiche ce dimanche sur France 2 avait séduit Première à sa sortie en 2002 et réuni 8,5 millions de spectateurs au cinéma à l’époque. Il suit l’histoire de Clément Mathieu (Jugnot, donc), professeur de musique sans emploi, qui accepte un poste de surveillant dans un internat de rééducation pour mineurs, en 1948 ; le système répressif appliqué par le directeur, Rachin (François Berléand), bouleverse Mathieu. En initiant ces enfants difficiles à la musique et au chant choral, Mathieu parviendra à transformer leur quotidien.

Une critique de Mathieu Carratier, publiée dans Première

Mathieu Carratier a critiqué le film à sa sortie, regrettant d’abord le manque d’originalité du projet mais avouant ensuite que « contre toute attente (et notre mauvaise foi), un demi-miracle se produit. Déjà, le film est soigné : Christophe Barratier fait du cinéma, contrairement à beaucoup de ses collègues qui semblent plus concernés par la diffusion en prime-time sur TF1 que par l’exploitation en salles. Là où ça devient carrément suspect, c’est quand ont réalise qu’il parvient à faire naître une véritable émotion, qui se ressent sans la moindre honte ni sensation d’être pris en otage par une ébauche artificielle de bons sentiments. Les Choristes est plus fin que ça et offre un écrin confortable dans lequel il est agréable de se réfugier pendant une heure et demi. C’est certainement le signe avant-coureur d’un succès peut-être programmé, mais pas usurpé. »

Bande-annonce :

Quand Catherine Zeta-Jones, 20 ans, donnait la réplique à Gérard Jugnot

Les Choristes est à l’honneur ce dimanche sur France 2. Le film musical de Christophe Barratier avec Gérard Jugnot, qui avait séduit Première à sa sortie en 2002, réuni 8,5 millions de spectateurs au cinéma et trouve son public à chaque rediffusion. Il suit l’histoire de Clément Mathieu (Jugnot, donc), professeur de musique sans emploi, qui accepte un poste de surveillant dans un internat de rééducation pour mineurs, en 1948. Catherine Zeta-Jones, 20 ans, donnait la réplique à Gérard Jugnot.

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