
Le thriller de l’esclavage brutal tombe à court
Antebellum capture la brutalité horrible de l’esclavage, mais ne parvient à être convaincant à aucun autre égard. L’imagerie graphique et la violence sont affligeantes. Scène après scène de coups, lynchages et viols évoquent des réactions viscérales. Le film tente de faire des parallèles entre le plus grand péché de l’Amérique et son effet continu sur la société moderne. Le script de plomb fouille cet objectif avec une intrigue absurde, des acteur en carton et des révélations mal mises en scène. Antebellum eu l’occasion pour l’être perspicace. Mais gaspille les périodes propices à l’apprentissage avec une absence de profondeur et une livraison brutale.
Dans Antebellum, une esclave évadée est traquée comme un animal. Le capitaine confédéré Jasper (Jack Huston) sourit en lui passant un nœud coulant autour du cou. Les autres esclaves de la plantation ramassent le coton avec fureur, la tête baissée. Tout mot ou regard aura des répercussions importantes. Un autre évadé est amené à cheval. Le général (Eric Lange) l’emmène dans sa cabine pour une raclée brutale. Il la puissance à hurler son nom, Eden (Janelle Monáe), avant de poursuivre à suivre son chemin. Il attise une marque dans le feu.
Le Dr Veronica Henley (aussi Janelle Monáe) se réveille pour l’un cauchemar. Elle embrasse son mari et sa fille avant de se préparer à partir pour une conférence de lecture. Sa famille loue sa performance de polémique télévisé sur les sensations persistants de l’esclavage. Veronica s’enregistre dans son hôtel haut de gamme, mais peut ressentir des critiques racistes de la part du personnel. Une bizarre interview avec une bizarre journaliste (Jena Malone) la met en colère. Une autre rencontre dans l’ascenseur soulève d’autant plus ses soupçons. Il se déroule quelque chose sur lequel elle ne peut en toute simplicité pas mettre le doigt.
Le mystère au cœur de Antebellum est évidente après le premier acte. Ceci est fait par conception et une grave erreur de calcul de la part des cinéastes. Les co-scénaristes / réalisateurs Gerard Bush et Christopher Rentz tentent de nuancer leurs débuts au 7 ème art. Les scènes pour l’esclavage épouvantables ont des drapeaux confédérés agitant mais les soldats défilent fièrement avec des torches. Ceci est censé refléter les événements tragiques de Charlottesville, en Virginie, en 2017. La comparaison est évidente sans tactiques de massue. Bush et Rentz sautent sur une exposition substantielle pour montrer que l’idéologie suprémaciste blanche est en plein essor aujourd’hui. Les éléments de quelle façon et pourquoi de l’intrigue réelle sont entièrement ignorés.
AntebellumIl est compliquée de repérer la représentation sérieux des abus sexuels. Les femmes esclaves étaient soumises à tous les caprices de leurs méprisables maîtres. Janelle Monáe est violée et agressée à plusieurs reprises. Pour l’une part, j’apprécie que Gerard Bush et Christopher Rentz ne tirent aucun coup de poing. Le traitement hideux des femmes noires dans ce pays a forcément été ignoré par Hollywood. Antebellum brille un projecteur flagrant sur un passé laid. Le soucis est que cela se transforme en pornographie de torture. Le point est poussé à l’intense. La victimisation de Monáe devient autoritaire. Elle est un sac de frappe à compter de trop longtemps.
Antebellum est une production de QC Entertainment, la même société qui a fait Sortez, BlacKkKlansman, et Nous. Ces films étaient absolument fascinants. Les sujets raciaux et les commentaires sociaux ont été intégrés avec succès à des récits captivantes. Antebellum a une prémisse intéressante qui aurait pu être à la hauteur de leurs derniers succès. Il manque malheureusement de finesse, de renseignements du personnage et pour l’exécution de réalisateur. Antebellum sera disponible le 18 sept. sur demande auprès de Lionsgate.
Sujets: Antebellum
Les opinions et opinions exprimées dans cet article sont celles de l’personne et ne reflètent pas nécessairement la politique ou la position officielle de Movieweb.