
Joker fait une victime sans défense de Supervillain le plus diabolique de Comicdom
Il y a beaucoup d'espoirs parmi les fans de bandes dessinées (dont je suis l'un) qui montent chez Todd Philips Joker film d'origine, avec Joaquin Phoenix dans le rôle principal en tant que Clown Prince of Crime. Deux espoirs principaux sont de nous donner une Joker qui est pour finir à la hauteur de la performance légendaire de Heath Ledger en tant que Joker dans Le Chevalier Sombre.
L’autre espoir est pour finir de faire remporter le meilleur Oscar par un film de bande dessinée et d’approuver le sceau ultime de l’approbation des films de bande dessinée en tant que tarif sérieux digne des plus grands éloges et de la plus grande reconnaissance. Malheureusement, en tirant pour ces deux nobles objectifs, le film lui-même s’éloigne énormément de ses racines de bande dessinée qu’il peut autant bien ne pas être Joker le film du tout, juste l'histoire d'un mec malade mental qui arrive à porter le maquillage de clown.
Pour débuter, permettez-moi de dire que toute comparaison entre Heath Ledger et Joaquin Phoenix est rendue nulle par le fait que les protagonistes qu’ils décrivent, en plus de partager le même nom, sont énormément différents qu’ils pourraient autant bien être deux personnes distinctes. Grand bouqin Joker était un cerveau criminel qui cachait sa vision nihiliste sous le couvert de la folie. Le univers a vu le Joker en tant que fou, mais il était à tous égards un génie diabolique capable de pousser le plus grand détective du univers à ses restrictions mentales.
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Cette idée de la Joker en tant que cerveau est resté cohérent dans toutes les adaptations de bandes dessinées, de dessins animés et de films. Jusqu'à ce que Phoenix vienne. Le sien Joker est un garçon vraiment ordinaire, animé de ses impulsions violentes et balayé par la vague des événements. Son premier meurtre est un acte défensif contre trois intimidateurs. Ses prochains crimes sont des actes vraiment personnels et impulsifs, qui demeurent le fait d’une victime qui agit au final contre ses oppresseurs, surtout que ceux d’un méchant qui se délecte de sa nature perverse. Même après le début d'une révolution dans les rues, il est clair que ce n'était jamais son volonté, ni les événements sous son contrôle après qu'il ait accidentellement allumé le fusible sur le baril de poudre qui constitue la classe inférieure de Gotham.
Donc, le personnage que nous obtenons pour finir est plus dans la veine du narrateur sans nom de Club de combat que le maître du mal chaotique qui est la bande dessinée Joker. Il est possible de imaginer le Jokerest joué par Ledger, Hamill, Nicholson ou bien encore Leto, ce qui rend Batman compliquée. Phoenix Joker, par contre, ne durerait peu une seconde dans un tel scénario. Il n'est ni un surveillant ni même un méchant. Dans une scène, on le constate tuer un garçon qui lui avait fait du tort et épargner un autre qui avait été son ami. Ce n'était pas l'action de la bande dessinée Joker, mais simplement un garçon dérangé mais au cœur généreux qui agissait contre une personne en particulier qui, à son avis, lui avait fait du tort.
Todd Philips a insisté à plusieurs reprises sur le fait qu'il n'y aurait pas de Joker rencontre la continuité de Batman pour son film, et cela a tout son sens. Cette Joker n'est en aucun cas fait pour être l'ennemi juré de Batman. Et c’est pourquoi, du point de vue d’un neophyte de bandes dessinées, ce film m’a au final déçu, malgré la performance magistrale de Phoenix. Je suis venu au théâtre dans l'espoir de voir l'origine du méchant le plus diabolique de la bande dessinée, le fou réputé pour ses actes de torture et de chaos les plus sadiques, avec une joie insupportable, la puissance imparable de la nature opposée à l'immobile Batman, le culte charismatique. chef qui gouverne le univers souterrain de Gotham et hypnotise pratiquement son armée de laquais en faisant ce qu'il veut.
Au lieu de cela, j'ai vu un film sur un garçon triste et solitaire qui luttait pour faire face à sa maladie mentale alors qu'il était plongé dans la pauvreté et une société indifférente. Dans le processus. Quelque chose comme The Killing Joke, mais plus triste et plus sombre. Tandis que dans The Killing Joke, l'homme simple et généreux est muté en fou en tombant dans une cuve toxique de produits chimiques qui le déforment, maintenant Arthur Fleck, AKA Joker reste le même, homme triste et solitaire, mais avec une strie plus violente.
C'était un bon film agréable dans ses paramètres, mais j'attends forcément de repérer un film Joker film d'origine qui rend justice au personnage pour lequel j'ai grandi va lire. Jusque-là, je peux forcément repérer à nouveau Breaking Bad, dont le personnage principal suit une trajectoire plus satisfaisante, passant d’un simple proprio ordinaire à un seigneur du crime compliqué, diabolique et au final impénitent.
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